Michel Guérard sur Wikipedia   -   article Télérama   -   article de Sud-Ouest : sa vie en images   -   son parcours sur la page de l'institut Michel Guérard

Son interview  "Les clefs de sa vie" sur Sud Radio, truffée d'anecdotes, dont plusieurs sur le Pot-au-feu. On y apprend la vraie histoire de l'acquisition, des débuts du restaurant et l'identité de quelques convives célèbres : Jean Ferrat - Jacques Brel - le duc de Windsor - et de deux grandes habituées : Régine et Marlène Dietrich.

1972, pour le repas du Club des Cents (agence Magnum Photos) : Michel Guérard dans sa cuisine   -  présentant un des plats   -   détail du plat

1976, Archive INA - Michel Guérard présente ses recettes, avec Marthe Mercadier : recette du pot-au-feu . L'enseigne imposait d'inscrire ce plat à la carte mais, de cette période, on retient surtout la salade folle (qui, au début, et en particulier dans cette archive, s'appelait plus modestement " salade gourmande ").

Mézalor, où était ce restaurant dans Asnières ?   on lit ad infinitum qu' « en 1965, etc.. à Asnières », sans jamais de mention précise de l'adresse. Tout au plus, en lisant en détail, apprend-on que le pâté de maisons fut rasé pour le développement urbain. Heureusement, dans la vidéo sur la nouvelle cuisine, on voit une photo de la devanture du Pot-au-feu, d'ailleurs reproduite dans Télérama mais plus floue. En outre, Michel Guérard précise que son restaurant était " en face d'une usine de rivets, le restaurant donnant sur Gennevilliers ". Encore mieux, sur une des photos accompagnant l'article de Sud-Ouest, on voit Michel Guérard devant son restaurant avec le peintre Jean-Pierre Rémon. La photo actuelle est tronquée mais on voyait précédemment la plaque de rue parfaitement lisible : " Asnières - rue Amélie Maria ".

La rue Amélie Maria existe toujours, à un pâté de maisons de la limite d'Asnières et de Gennevilliers. Mais elle a été amputée vers 1980 d'une vingtaine de mètres, pour faire passer la voie à chaussées séparées qui conduit du pont de Clichy jusqu'à la A86, doublée de chaque côté de voies latérales qui rétablissent la continuité de la rue des Bas. Un plan ancien nous révèle la configuration du quartier à l'époque ; on y repère facilement la bâtisse d'angle du Pot-au-feu.

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